vendredi 5 novembre 2010

La visite de L’Ecopole

Mardi 19 octobre, nous allons à l’Ecopole. Quand tout à coup, se dresse devant nous une très belle cabane en forme de nid d’oiseau : c’est la Nef ! Après, nous partons en promenade. Nous remarquons beaucoup d’espèces d’arbres, nous voyons les bras morts du fleuve qui forment lacs et marécages. Et tout à coup se dresse devant nous : La Loire !
Nous continuons la promenade et voyons le mât des crues. Plus loin, nous nous mettons aux vitres d’un observatoire et nous restons bouche bée : nous voyons des tonnes et des tonnes d’oiseaux et de canards.
Corentin


Après un long trajet en car, nous arrivons sous un arc de cercle en bois annonçant notre arrivée à l’Ecopole. Nous voyons déjà beaucoup d’oiseaux passer au-dessus de nos têtes. Nous apercevons plusieurs espèces d’arbres différents avant d’arriver à la Nef d’observation où nous commençons notre trajet vers le fleuve : La Loire. Nous entamons alors un long chemin dans la forêt. Des poteaux éducatifs sont plantés un peu partout sur le chemin, nous posant des questions sur les arbres qui longent le sentier. Petit à petit ; une flore spécifique au milieu humide apparaît, les oiseaux pêcheurs aussi. Et là, La Loire, devant nous : des centaines d’oiseaux volent au-dessus de l’eau. Il y a aussi un grand mât indiquant les différentes crues du fleuve, c’est impressionnant car la plus grande mesure plus de trois mètres. A côté, un pylône éducatif nous explique à quoi servent les crues.
Evans



Après une heure de bus, nous sommes arrivés à l’Ecopole du forez. Près de la Nef, un petit bâtiment en bois, nous avons fait des groupes. Moi et mon équipe sommes parties en premier, nous avons pris l’itinéraire pour voir le fleuve. Et nous y sommes arrivées, après une heure encore de trajet et quelques poses vers un ou deux observatoires bien sûr. Plus nous nous approchions et plus nous entendions l’eau. Nous avons vu des panneaux qui nous indiquaient que nous nous approchions du fleuve. Nous voyions des bras morts, une flore spécifique des zones humides et beaucoup, beaucoup d’oiseaux : grands cormorans, hérons, canards… enfin devant nous le fleuve : La Loire. Il était très grand, très large, nous étions enfin arrivées.
Le fleuve s’étendait devant nous. C’était vraiment joli, des oiseaux de partout, je ne savais plus où donner de la tête. A côté de nous, le mât des crues ! Nous voyions toutes les grandes montées des eaux dont celle de 2008, c’était une des plus grandes. Un autre mât se trouvait sur notre gauche, nous expliquant l’histoire du fleuve.
Marion

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